''Ce n’est pas le chemin qui est difficile, c’est le difficile qui est le chemin.''
Sören Kierkegaard
Quoi qu'on en dise, les épreuves font grandir. Puis, lorsqu'il est difficile de faire un pas vers l'avant, ce sont les plus solides, les plus persévérants et les mieux outillés qui parviendront à avancer.
Devant les difficultés, il existe différents possibilités, avenues, directions à prendre : abandonner et rebrousser chemin, ralentir le pas, prendre une pause en bordure de la route, continuer à avancer, traverser en compagnie d'un ami, ...
Chacun vivra les obstacles à sa façon. L'important pour moi c'est de ne jamais abandonner les buts que je me suis fixées et d'avoir des objectifs réalistes.
Bonne journée!
Crédit photo: Fleur d'âme
j aime vos billets, ils sont dans mon etat d esprit actuel, que je n ecris pas sur le blog, mais tant de questions m agitent
RépondreSupprimerEn venant me visiter, certaines personnes accrochent sur un mot, une phrase... ça me fait plaisir de savoir que j'atteins certaines âmes.
SupprimerFaites-moi connaître votre blog Valérie. Ça m'intéresse.
Bonne journée.
C'est ce que j'ai toujours dit. Ce n'est pas tout le monde qui peut passer au travers des épreuves. Il faut être fort et outillés. Parfois, nous ne le sommes pas et c'est là qu'il faut de l'aide pour y arriver.
RépondreSupprimerMais la vrais force réside dans le fait de le réaliser et d'être assez humble pour l'accepter !
Rien de plus à ajouter : la véritable force réside dans le fait de le réaliser et d'être humble pour l'accepter!
SupprimerVraiment j'adore!
Merci Éphémère!
Bonjour Fleur d'âme
RépondreSupprimerj'apprécie toujours autant vos écrits profonds
la citation d'aujourd'hui est magnifique ainsi que vos analyses sur les épreuves
les directions à prendre que vous énumérez devant les difficultés sont très intéressantes pour approfondir une réflexion. laquelle vous parait la plus adaptée?
Oui, vous avez raison, les épreuves font "grandir".
je ne l'ai compris qu'à l'aube de la quarantaine, quand j'ai muri, quand j'ai suffisamment "grandi".
l'épreuve principale de ma vie a consisté en l'attitude de ma belle-mère, mère de mon époux, qui n'a cessé d'essayer de semer la discorde dans mon couple.
mais j'ai appris des choses en essayant de mettre des limites et de protéger mon couple.
Ma force intérieure a "grandi" au milieu des souffrances intérieures.
Et à présent je cherche la sérénité intérieure même si le problème n'est pas réglé, je cherche à le regarder différemment pour moins m'atteindre.
Je n'abandonne pas, je persévère, d'ailleurs je suis toujours en couple au bout d'une vingtaine d'années, elle n'a pas réussi à casser notre couple.
j'ai quelques copines ou amies avec lesquelles je discute de choses et d'autres et ça me fait du bien.
Mon objectif est d'atteindre la sérénité intérieure malgré les soucis.
merci
une lectrice
L.............
Il est fort probable que vos apprentissages sur les épreuves de la vie aient débutés avant la quarantaine... seulement, les épreuves étaient plus petites, les montagnes moins abruptes, les paysages si grandioses que le chemin s'est fait davantage en ligne droite.
SupprimerLes relations avec la belle famille ne sont pas toujours faciles. J'ai moi-même des relations distantes. Dans les faits, je n'ai aucun point en commun avec la majorité des membres de la famille de mon conjoint... Quoi qu'avec le temps j'apprends à gérer les situations avec plus de détachements et sereinement.
Bonne fin de semaine L...
Bonjour Fleur d'âme et merci de votre réponse
SupprimerComment arrivez-vous à gérer les situations avec votre belle-famille plus sereinement et avec plus de détachement? Votre expérience pourrait peut-être m'aider...
merci par avance
une lectrice
L............
Lorsque nous comprenons les agissements d'une personne (et les réactions qu'ils provoquent chez nous), même si nous ne sommes pas en accord, il est plus facile d'avoir du détachement. Par exemple, ma belle-mère avait une forte tendance à me dicter comment éduquer mes enfants : ''Dans mon temps, on faisait ci, ça...'' On sait bien que l'éducation des enfants et les mesures de sécurité ont bien changé entre 1965 (naissance de son fils) et 2005 (naissance de ma fille). Je tournais l situation en disant que ma fille préférait qu'on lui coupe ses raisin en deux, qu'elle n'aimait pas le sucre, ... Ma fille, qui était la petite princesse avait tous les droits chez elle, elle décidait d'elle-même. Pour les vêtements laids qu'elle m'offrait... ma fille ne les portait simplement pas ou juste pour aller voir sa grand-mère... Et surtout, je n'argumente jamais. Je lui donne raison pour tout ce qui n'est pas vital ou dangereux pour qui que se soit.
SupprimerJe suis de celles qui, lorsque je me sens inconfortable me demande si ma réaction est justifiée ou s'il y a nécessité d'agir : Est-ce vital ? Bien souvent, ça ne l'est pas ! :)
Bonne chance L...