''On ne se console pas des chagrins, on s'en distrait.''
Stendhal
Être positive, c'est généralement facile pour moi. Je considère que je suis née pour être heureuse, que j'ai un bon karma. Je penche souvent plus fort du côté du positif et du bonheur. J'ai la vision du beau facile et je suis choyée par la vie.
Cela ne m'empêche toutefois pas d'être touchée par le chagrin qui habite mes proches. Ainsi, dans quelques semaines, un ami devra se faire amputer une grosse partie de sa jambe suite à un petit problème de santé qui a mal tourné. Je sais qu'il pourra passer au travers de cette épreuve, car il en a surmonté plus que d'autres des obstacles dans sa vie...
Malheureusement, je ne peux pratiquement rien pour lui. J'ai essayé de m'imaginer comment je prendrais les choses si ça devait m'arriver à moi..
Ma conclusion : que l'on doive se départir d'un orteil, d'un pied ou d'une jambe, c'est un parcours unique que nous aurons à franchir. Un deuil terrible à faire : la perte d'une partie de soi. Et si une partie de ses problèmes initiaux seront réglés, un long processus de deuil sera à compléter, du support à accepter, des larmes à verser... puis un jour, le bonheur à retrouver!
Mes pensées les plus positives vont à ce jeune homme avec qui j'ai ''chillé'' dans ma jeune vie d'adulte...
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